Madame rêve
Ma soeur a repris du service, sa machine à coudre fume!!
vous pouvez voir son little market là!
et consulter sa plaquette que je viens de lui confectionner pour ses créations enfance:
Ma soeur a repris du service, sa machine à coudre fume!!
vous pouvez voir son little market là!
et consulter sa plaquette que je viens de lui confectionner pour ses créations enfance:
J’aime beaucoup ce site, chaque vendredi un thème est tiré au sort, et chacun soumet son illustration,
cette semaine « whisper » – « murmure »
j’ai retrouvé ce dessin dans les archives
zou – automne 2008
Voilà, la maison est en cartons, et nous quittons le boulevard des Poilus sur un air de Tindersticks… Notre chat s’est fait la malle; il a dû sentir venir le déménagement le bougre! Je n’ai plus qu’à placarder sa photo partout.
Mes pinceaux sont déjà installés dans Carlotta la Magnifique, notre superbe dépendance à roulette qui me fera aussi office d’atelier provisoire (ou pas…) et estival.
Pour prévenir les gens du village, j’ai confectionné un petit carton, histoire de les inviter à fêter notre arrivée.
Demain, la vie citadine se termine, Zou cultivera ses tomates, une goutte de carmin dans la palette!
Quelle belle découverte que ce stage chapeauté par François Soutif et organisé par la Paillette, à Rennes!
Au programme: initiation à cette technique d’impression, plus abordable de prime abord que la taille douce et l’eau forte que j’avais expérimenté l’an passé. Un côté ludique, artisanal et brute qui me convient très bien, un autre précis et délicat que je ne maitrise pas du tout, et qui ne me fait donc pas de mal! Stage parfaitement mené par l’intervenant et mission réussie pour cette journée et demi qui est passée trop vite! J’espère vite retourner à cette expérimentation…
photos de chantier prises par Geneviève… allez sur son blog voir ses théières à tomber!
et 2 de mes travaux:
L’homme poisson, avec un essai avec la plaque de Rose-Marie pour la belle plaque de feuilles!
J’aimerai du bout de mes pinceaux partir sur les chemins des roulottes de Tony Gatlif, plonger dans le regard d’un gitan. C’est un grand courant d’air frais – glacé – que ce film là, emportée je suis entre barbelés et forêts, entre route et ciel, entre histoire et musique.
Une envie de laisser pousser des jupes longues à Zou, de lui coller un violon dans le coeur, et de chercher une route de guérison sur les sentiers de la guerre, un abreuvoir dans le soulier des racines, la transpiration d’un cheval haletant sous la chevelure du passé … Un « no tengo patria » tatoué derrière les paupières.