comme un coquelicot dans un champ de blé
c’est drôle comme elle revient trainer par là cette petite demoiselle, histoire de me dire qu’elle existe encore, qu’elle n’a pas dit son dernier mot. J’aimerai bien avoir d’autres traits sous la main, mais celle là me vient comme un souffle et se glisse encore à la plume et à l’encre. Vous revoilà Mam’zelle Zou, le cœur battant, l’esprit vagabond, l’oeil en l’air.
des histoires rodent pas loin. J’aimerai m’assoir un instant sur un ponton à regarder les bateaux rentrer au port, ou bien guetter l’arrivée des coquelicots dans un champ de blé,
un peu d’encre coule encore dans mes veines…